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La Bretagne est une terre d’histoire et de culture. Elle a vu passer de grands hommes, comme Arthur, Conan le Barbare, le Duc de Bretagne, Jeanne d’Arc, le Comte de Montfort… sans oublier bien sûr les plus grands auteurs de la littérature française qui ont puisé leur inspiration dans la mer, les fêtes et les gastronomies bretonnes.

La Bretagne est réputée pour ses châteaux à perte de vue et sa culture. C’est une destination touristique qui regorge de monuments historiques. Vous ne mourrez pas d’ennui si vous décidez d’y faire un saut !

Pour découvrir d’autres châteaux en Bretagne : Château de Fougères, Suscinio, Taureau… C’est ici !

Si vous souhaitez revisiter l’histoire de la Bretagne à travers les châteaux qu’elle abrite voici un article parfait retraçant l’histoire de grands châteaux témoins de l’histoire de la Bretagne !

Pour retrouver notre sélection des plus beaux châteaux de Bretagne, n’hésitez pas à consulter notre liste sur l’application Henoo.

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Le château des Ducs de Bretagne

duc de bretagne chateau

© Canva

Le château des Ducs de Bretagne est un château historique du XIVème siècle, qui s’étend sur 140 hectares. Il est situé dans le cœur historique de Nantes dans le département actuel de la Loire-Atlantique.

Ce monument-phare du patrimoine urbain de la ville eut un rôle majeur dans l’histoire de Bretagne.

Construit au 13e siècle sur la muraille gallo-romaine de la cité des Namnètes, le premier château ducal : château de la Tour Neuve, construit entre 1207 et 1248 disparaît au XVe siècle pour laisser place à l’actuel monument.

Au XIVe siècle, la Bretagne connaît une guerre de succession qui oppose la dynastie des Penthièvre à celle des Montfort.

La guerre se termine par la victoire de Jean IV de Montfort en 1365. Il occupe alors le château de la Tour Neuve, où il réalise d’importants travaux qui permettent de renforcer les défenses de l’édifice.

En 1466, François II de Bretagne décide de le reconstruire entièrement et fait appel aux meilleurs architectes du duché. Ce dernier meurt d’une chute à cheval peu après le siège, et son trône passe à sa fille Anne de Bretagne, qui fut deux fois reine de France.

Au XVIIe siècle, le château de Nantes perd son rôle politique et son prestige royal. Les rois venaient rarement à Nantes et le château n’avait plus beaucoup d’importance stratégique. Le château prend le rôle de prison, notamment pour les détenus notables, puisque la prison de droit commun est située au château du Bouffay (ancien château aujourd’hui disparu).

De nombreux événements historiques y ont eu lieu : la prise du château par les Français en 1591, la défaite de Nantes face à l’armée royale au XVIIème siècle, la révolution de 1789, la bataille de la Roche-Aux-Moulins en 1815…

Le maire Paul Bellamy décide d’installer un musée dans le château qui ouvrira ses portes au public en 1924.

Le château est alors restauré et après quinze ans de travaux et presque trois ans de fermeture totale, le château ouvre ses portes en 2007, accueillant depuis le musée d’histoire de Nantes.

Un château vieux de six siècles resté un symbole du patrimoine historique de Nantes et d’une période faste de l’histoire bretonne.

Château de la Roche Jagu

Château Roche Jagu

© Calips — Wikipedia

Le château de la Roche-Jagu est un château du XVIIIème siècle restauré en 1968 est situé à Ploëzal.

Surplombant une profonde boucle de la rivière, le site où se situe La Roche-Jagu a toujours été un excellent belvédère, c’est ainsi qu’au XIe siècle une motte féodale fut édifiée afin de surveiller les alentours, devenant peu à peu une forteresse de pierre.

La partie la plus ancienne du château est édifiée à la fin du Moyen Âge, la façade sur la rivière offre une défense avec un chemin de ronde.

En 1773, le maréchal de Richelieu vend le château à Mme Le Gonidec de Tressan.

Le musée a été créé en 1847 par le comte de Vaudreuil, administrateur de l’administration des domaines. Il a été fondé sous le nom de Musée de la province de Bretagne.

Le monument est actuellement géré par le Conseil départemental des Côtes-d’Armor, propriétaire depuis 1958 du château, à la suite du legs du vicomte Gaëtan d’Ales à l’État, et devient Domaine départemental de la Roche-Jagu en y organisant des visites, de fréquentes expositions thématiques, des événements culturels et des spectacles.

Château de La Roche Goyon – Fort La Latte

Le Château de la Roche Goyon

©Canva

Le château de La Roche-Goyon (tirant son nom d’une des plus anciennes familles bretonnes) est un château dominant l’estuaire du trieux. Il est aujourd’hui le siège du Musée des arts décoratifs et du design (MUD). Ce château fort est situé sur la pointe de la Latte, près du cap Fréhel dans le département des Côtes-d’Armor.

Il est tout particulièrement remarquable par sa situation sur un cap rocheux ce qui lui a valu d’être le décor de nombreux films.

Une légende raconte qu’un premier château aurait été construit par un Goyon sous Alain Barbe-Torte en 937. Le château date du XIVe siècle, construit par Étienne III Gouÿon, seigneur de Matignon. La construction du château a commencé dans les années 1340 jusque dans les années 1360-70.

En 1379, la forteresse fut confisquée au profit de Charles V, puis restituée à son propriétaire par le traité de Guérande (1381). Lorsque la Bretagne est réunie à la France, le château subit un siège (1490) par les Anglais, sans succès pour les envahisseurs.

Le château est attaqué et occupé une seconde fois lors des guerres de Religion en 1597, cette attaque de la Ligue catholique contre les occupants fidèles à Henri IV marque une période d’abandon et d’incendie partiel de l’édifice, le château est déjà appelé à cette époque La Latte et fut démantelé, pillé, ravagé, incendiéSeul le donjon résista.

C’est à ce château en ruine que s’intéressa le sieur Garengeau chargé de fortifier la Côte pour la défense de Saint-Malo. Le château fut transformé entre 1690 et 1715, on lui doit en grande partie l’aspect que nous lui connaissons aujourd’hui. 

Ce n’est qu’au XVIIIe siècle, sous Louis XIV que le château retrouve ses heures de gloire. Ainsi, la forteresse servira jusqu’à la fin du Premier Empire.

À partir de 1892, il est vendu à différents propriétaires privés puis racheté en 1931 par le passionné Frédéric Joüon des Longrais, qui entreprend d’importants travaux de restauration.

Au cours du XIXème siècle, il est laissé-pour-compte et n’eut plus qu’un seul gardien pour être finalement vendu par les Domaines en 1892. Il était en grande partie en ruines lorsqu’il fut classé Monument Historique en 1925. C’est la famille Joüon Des Longrais qui le restaure depuis 1931 par la famille et ouvert à la visite.

Il est devenu l’un des châteaux les plus visités en Bretagne, après celui des ducs de Bretagne à Nantes !

Le château de Vitré

Château de Vitré

© Erwan Corre — Wikipedia

Puissant château fort et véritable chef-d’œuvre médiéval situé à l’extrémité occidentale de la ville fortifiée de Vitré, le château de Vitré, dans le département d’Ille-et-Vilaine, était depuis sa construction au Moyen-Age, dans un état lamentable.

Vers l’an mil, existait déjà un premier château en bois, il était construit sur une motte castrale par le baron Riwallon de Vitré à l’emplacement actuel de l’église Sainte-Croix.

C’est en 1060-107 que Robert Ier fait construire un premier château de pierre sur le promontoire rocheux actuel. Vous pouvez encore voir le portail roman de cette première forteresse dans la cour du château.

Au cours de la première moitié du XIIIe siècle, André III, de Vitré, entreprend la construction de l’actuelle forteresse de plan triangulaire autour du premier château.

Le château fortifié au fil du temps sera doté de toutes les caractéristiques d’un château fort machines, ponts-levis, cercles, anneaux de canons… 

Au XVe siècle, la forteresse défensive laisse peu à peu place à une demeure seigneuriale très confortable. D’ailleurs, Jeanne de Laval-Châtillon, épouse de Guy XII, fait faire une chambre d’étuve… Pour créer un sauna !

La rénovation sera poursuivie par Guy XV qui entreprendra des travaux afin de faciliter la circulation à l’intérieur du fort.

Le château de Vitré connaît une période de déclin à partir de la seconde moitié du XVIe siècle en raison des guerres de religion. Il est donc délaissé au XVIIe et XVIIIe siècle et confisqué comme bien national à la Révolution, (il est d’ailleurs en partie transformé en prison au XIXe siècle).

Le château est un des premiers édifices à être classé Monument Historique : en 1872 et bénéficie de plusieurs campagnes de restauration. Il reprend du prestige lors de l’ouverture en 1877 du Musée du Château offrant un parcours dans la tour Saint-Laurent, la tour de l’Argenterie et la tour de l’Oratoire, vous pourrez vous laisser transporter dans un voyage historique : statues, mobiliers, vêtements…

Laissez-vous envoûter par le château de Vitré et sa silhouette singulière dominant la cité du haut de ses majestueuses tours et tourelles. Cette bâtisse semblant sortir tout droit d’un conte de fées peut aussi se redécouvre à la nuit tombée lors du parcours nocturne Vitré Lumière… Un moment magique !

Château de Dinan

Château de Dinan

© Canva

Le château de Dinan, fascinant témoignage de pierre de la fin du Moyen-Âge date de 1380, lorsque le duc Jean IV rentre en Bretagne après plusieurs années d’exil en Angleterre.

Poussé par le désir d’asseoir son pouvoir dans une ville qui a longtemps soutenu son rival Charles de Blois, il entreprend un vaste programme de construction dans son duché. À Dinan, Jean IV réserve un projet architectural exceptionnel sous la conduite du maître d’œuvre Étienne le Tur.

À la fin du XVIe siècle, Dinan devient une place forte de la Ligue catholique. Dans le contexte troublé des guerres de Religions et d’importantes modifications sont entreprises sous l’impulsion du duc de Mercœur entre 1585 et 1598.

Délaissé au XVIIe siècle, un mauvais état du château est attesté en 1654. Le rapport, que rédige en 1693 l’ingénieur militaire Siméon Garengeau, nous décrit un édifice aux murs encore solides mais dépourvu de portes et fenêtres et à la toiture détruite.

En 1703, les bureaux de la Guerre et de la Marine entament un programme de restauration du Château de Dinan dans le but d’en faire un vaste centre de détention pour les soldats et marins capturés. C’est ainsi que tout le XVIIIème siècle, des centaines de prisonniers anglais seront détenus dans les tours du château.

Avec la Révolution Française, la fonction carcérale demeure mais la nature des prisonniers change : de prison militaire, le château devient une prison de droit commun en 1817 et va le demeurer jusqu’en 1904.

Le château devenu prison de droit commun au XIXe siècle est racheté par la ville de Dinan en 1906 pour 30 000 qui entreprend des travaux de restauration de la tour ducale.

Le « Château-musée » ouvre ses portes en 1908. Les collections du musée sont consacrées à l’histoire et à l’artisanat de Dinan et de son territoire, les collections sont désormais conservées dans les réserves municipales.

En 2014, la Ville de Dinan a souhaité porter un programme de restauration et de mise en valeur du monument inauguré en e projet comprend d’importants travaux sur le monument : ouverture au public du « souterrain Mercœur » , mise en place d’une nouvelle scénographie au service de la compréhension du château et de son architecture.

Château de Clisson

Château de Clisson

© Canva

Au début forteresse majestueuse, puis résidence ducale et enfin ruine romantique, le château de Clisson est témoins d’une longue et sinueuse histoire.

Ce château médiéval est situé sur un promontoire granitique dominant la rive gauche de la Sèvre nantaise. Il fut édifié du XIe au XVe siècles par les puissants seigneurs de Clisson, devenant ainsi, un point stratégique et défensif des Marches de Bretagne.

Jusqu’au XVIIe siècle, le château est la résidence de la famille d’Avaugour. Ces derniers le modifient au goût de l’époque. Ce point stratégique protégeant la frontière du duché de Bretagne au XVe siècle est abandonné par ses propriétaires à partir de la deuxième moitié du XVIIe puis incendiée par les troupes républicaines en 1793.

Après la chute des seigneurs de Clisson, le château devient la propriété des ducs de Bretagne puis de leurs descendants. Le duc François II de Bretagne transforme le château en imprenable forteresse.

En 1807, le créateur du domaine de la Garenne Lemot, François-Frédéric Lemot le rachète, c’est grâce à lui que les ruines du château sont aussi bien conservées aujourd’hui. C’est en 1924 qu’il devient monument historique, avant que le département de Loire-Atlantique en devienne propriétaire en 1962. Il est finalement restauré entre 1974 et 1993.

Château de Josselin

Château de Josselin

© Canva

Théâtre de terribles affrontements, le château de Josselin a été construit il y a 1000 ans, c’est un emblème des grandes luttes de pouvoir notamment entre les ducs de Bretagne et les Rois de France. Surplombant le canal de Nantes à Brest, Josselin est un lieu majestueux, symbolisant la résistance des Bretons face à la domination française.

Aujourd’hui, la famille de Rohan résiste encore et vit toujours dans cette demeure qui a l’honneur de figurer parmi les plus beaux châteaux de Bretagne (si ce n’est le plus beau).

Au Moyen-Age, un guerrier breton appelé Goscelinus décide d’édifier une construction en bois sur ce promontoire rocheux. 

Nous devons le château tel que nous le connaissons aujourd’hui à Olivier de Clisson qui décide de reconstruire la forteresse en 1370. À sa mort, en 1407, le château passa dans les mains de son gendre, Alain VIII de Rohan.

Au début du XVIe siècle, Jean II de Rohan fait construire une demeure avec une façade Renaissance spectaculaire en granit. On peut y lire « A plus » la devise des Rohans (signifiant vers plus grand) inscrit en dessous d’un A couronné, hommage à Annes de Bretagne, nièce de Jean de Rohan, duchesse de Bretagne et reine de France.

Il faut savoir que Josselin fut un lieu stratégique puisqu’il se situait à proximité de la frontière bretonne. Très abîmé pendant les guerres de religions et lors de la Révolution, le château sera rendu dans un piteux état après avoir joué son rôle de prison.

Le Château reste à l’abandon jusque vers 1850 puis une restauration est entreprise en 1870 avec l’aide des architectes Jules de la Morandière et Henri Lafargue. Le Château redevient alors une demeure familiale.

Pour les amoureux des jardins, le domaine comprend une roseraie, un parc à l’anglaise et un jardin à la française créé au début du XXe siècle par le paysagiste Achille Duchêne.

Résistance politique, religieuse, à l’usure du temps… Sous cette écorce de pierre, on raconte une histoire millénaire dont le charme n’a pas fini d’opérer !

Château de Brest

Ce rare vestige de l’histoire de la ville de Brest est un château fort témoin du passé médiéval, maritime et militaire de Brest.

Du castellum romain à la citadelle de Vauban jusqu’à aujourd’hui, cette forteresse traverse dix-sept siècles d’histoire et a su conserver au fil des siècles sa vocation originelle de forteresse militaire. Le château a été modifié de nombreuses fois tout au long de l’histoire pour se protéger de toute attaque terrestre ou maritime.

Il fut la manifestation de la puissance des Comtes de Léon jusqu’au milieu du XIVè siècle. Très convoité par la Bretagne, l’Angleterre, la France, le château était considérée au Moyen-Age comme le plus fort château du monde.

Son architecture est complexe, on peut y remarquer quelques éléments de muraille Romaine toujours visibles. C’est le seul endroit du département où l’on trouve une enceinte construite selon les techniques du IIIe et IVe siècles. Le château reste avant tout caractéristique d’une architecture bastionnée.

Il est très endommagé durant la Seconde Guerre mondiale, pendant le siège de Brest d’août à septembre 1944. D’Anne de Bretagne à Jeanbon Saint-André, de Richard II d’Angleterre aux GI de la Seconde Guerre mondiale… Le Château de Brest a vu se dessiner la France à travers l’histoire houleuse de la Bretagne.

Ce rare vestige de l’histoire de la ville demeure aujourd’hui un site stratégique de première importance abritant le Musée national de la Marine. L’histoire de la Marine est étroitement liée à celle de Brest. Découvrez l’histoire de la ville, les techniques militaires de siège et d’armement…

Un château doté d’une histoire sinueuse et pleine de richesse !

Chateaubriand

Forteresse médiévale puis édifice remanié à la Renaissance, le château de Châteaubriant nous raconte dix siècles d’histoire.

Vers 1050, le seigneur Brient érige sur ce promontoire rocheux, un premier château et donne ainsi naissance à la ville, à laquelle il donne son nom. Il a également fondé le prieuré de Béré. Les origines de Brient sont inconnues, et aucune information n’est disponible sur son père.

Le château a été établi au XIe siècle sur les Marches de Bretagne. Il était chargé de défendre la Bretagne face au Comté d’Anjou tout comme les châteaux de Vitré, Fougères, Ancenis et Clisson.

Au cours du Moyen-Age, le château était au départ un simple donjon qui fut agrandi et fortifié tout comme la ville de Châteaubriant.

Au XIIe siècle, la seigneurie de Châteaubriant est élevée en baronnie, puis elle passe aux familles de Dinan et de Montfort-Laval. En 1488, l’ambition du Roi Charles VIII désireux de prendre le contrôle de la Bretagne le pousse à assiéger le château.

Son mariage avec Anne de Bretagne trois ans plus tard réduit l’importance stratégique du château.

Françoise de Dinan puis Jean de Laval y font construire une résidence Renaissance et y aménagent des jardins. Le donjon et les logis sont reconstruits et modernisés puis, un « Château-Neuf » est construit suivant l’architecture de la Renaissance.

Le château est ensuite délaissé par ses propriétaires qui y viennent très rarement. Il est vendu plusieurs fois après la Révolution française pour être finalement transformé en cité administrative par le département de Loire-Inférieure qui en fait acquisition en 1853.

Château du Guildo

Château du Guildo

© Thor19 — Wikipedia

Le château du Guildo fut probablement édifié au début du XIIIe siècle.

Pour les périodes les plus anciennes, on atteste la présence d’une occupation dès le XIIe siècle dont la nature exacte reste incertaine. On découvre du mobilier équestre dès 2003 laissant supposer la présence de cavaliers et donc sans doute de nobles sur le site.

Après une phase d’abandon, le château est probablement reconstruit à la fin du XIVe siècle.

Le site connaît son apogée au XVe siècle, lorsque Françoise de Dinan en devient propriétaire, l’unique héritière de plusieurs grandes familles bretonnes et épouse de Gilles de Bretagne.

Au XVIIe siècle, le château a déjà été assiégé plusieurs fois pendant les guerres de la Ligue et subit des dégâts importants. Il est progressivement abandonné et tombe petit à petit en ruine.

C’est l’un des rares sites de l’époque médiévale à avoir fait l’objet de fouilles archéologiques approfondies. Ces fouilles ont permis de comprendre les étapes successives de la construction du monument, les destructions et reconstruction mais aussi les modes de vie et les activités au sein du château.

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