Niche murale

Aux 17e et 18e siècles, les niches protectrices fleurissent sur les façades de maisons. Elles sont édifiées par les propriétaires qui y apposent leurs initiales et les placent généralement au-dessus ou à côté de la porte d'entrée pour protéger les habitants du logis. D'après les initiales qui apparaissent et les registres d'état civil de l'époque, cette maison semble avoir appartenu à Laurent Robinet, laboureur né à Glonville, et à son épouse, Marguerite Simon, née à Flin.